Publié le 24 août 2018

Stagiaires DARC - © ADTI

Paroles de stagiaires

Le stage international Darc bat son plein jusqu’au 24 août, il fait danser, l’Indre, le Berry, la région et le monde entier. Cela fait 43 ans qu’au mois d’août, Châteauroux devient Broadway.
A travers quatre portraits, Berry Province est parti à la rencontre des danseurs de tous âges et de toutes nationalités qui y participent.

Stagiaires DARC © ADTI

 Michèle- 68 ans- une habituée.

« Je pratique la danse depuis près de 50 ans et je viens de Rouen, en Seine-Maritime. Fidèle du stage-festival Darc puisque j’y participe depuis 18 ans. Cette année, je pratique le qi gong, la barre classique, la comédie musicale et le reggae-jam pour la première fois. Ce qui correspond à 5 heures 30 de danse par jour. Ce que j’apprécie au fil des ans, c’est l’ambiance de vérité, d’authenticité, d’un stage ouvert sur le monde.»

Stage DARC - © Lydie Vareilhes

Stage DARC – © Lydie Vareilhes

Cinquante-trois ans, Sylvain est professeur de fitness à Cluny, l’effort physique, il connaît.

« Pour pratiquer mes six, sept heures de danse quotidienne : modern-jazz, danse sportive, reggae-jam, il faut être très présent et savoir gérer sa fatigue aussi bien mentale que physique. Amateur confirmé (7 ans de danse), je participe depuis trois ans au stage. J’apprécie particulièrement l’accueil et l’attention réservées aux stagiaires, aussi bien de la part des bénévoles que des professeurs. Pour moi, de par les disciplines enseignées et les niveaux proposés, le stage Darc est unique en Europe. »

Stage DARC - © Lydie Vareilhe

Stage DARC – © Lydie Vareilhe

Le parcours de Nazrin, 18 ans, jusqu’à Châteauroux est singulier.

« J’ai gagné lors du premier prix d’un concours de chant où j’interprétais « je veux » de la chanteuse Zaz, la participation au stage Festival-Darc. De ce fait, j’ai fait près de 4000 km depuis Bakou en Azerbaïdjan jusqu’à Châteauroux ; je partage mes quatre heures quotidiennes de danse entre le modern-jazz, la danse contemporaine et la danse africaine. Pour moi, la barrière de la langue n’est pas un problème puisque la danse est un art universel qui se pratique, ici, dans une ambiance conviviale, sympathique et riche de rencontres. »

Stage DARC - © Lydie Vareilhes

Stage DARC – © Lydie Vareilhes

Sept heures de danse, c’est la moyenne journalière d’entraînement chorégraphique pour Kazumi.

« Je vis à Paris mais suis originaire de Fukuoka, au Japon. Je pratique en amateur depuis onze années. A cinquante ans, et durant Darc, les claquettes, la danse classique, le qi gong et le hip-hop n’ont plus de secret pour moi ; depuis huit années, en août, je deviens castelroussine. Ce que j’aime, ici, c’est les plaisirs partagés entre danseurs, les rencontres intergénérationnelles entre passionnés, l’apprentissage et la progression de nouvelles disciplines. »

Stage DARC - © Lydie Vareilhes

Stage DARC – © Lydie Vareilhes

//Si vous aimez le stage-festival Darc, dites- nous pourquoi et partageons ensemble vos expériences.

  • 24 août 2018
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Berrichonne d’adoption depuis un certain temps , j'apprécie les valeurs du Berry et de ses habitants, ils ne trichent pas et ils savent faire partager générosité et simplicité. Quant aux festivals de musique, ce sont pour moi des escapades magiques et des rencontres incroyables...

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