Les sirops Monin

En 1912, Georges Monin, berruyer de 19 ans, donne son nom à l’entreprise qu’il fonde pour se lancer dans le commerce de vins et spiritueux.

Une success-story made in Bourges !

Freiné dans son élan par la Grande Guerre, l’entreprise Monin se développe à partir des années 20 et commence à s’intéresser aux sirops à la fin de cette décennie. Les carnets de commandes et de clients grossissent et Georges Monin parvient à maintenir son entreprise durant la seconde guerre mondiale. Il n’en verra pas la fin car il meurt en 1944. Son jeune fils, Paul Monin, âgé de 22 ans lui succède en 1945. Sous sa direction, on assistera à quelques innovations liées au sirop et une volonté farouche de défendre la qualité de ses produits en cherchant à traiter systématiquement avec les meilleurs fournisseurs. L’image de marque se bâtie et Monin acquiert une solide réputation.

Monin, leader mondial des sirops haut de gamme

Une troisième génération arrive à la tête de l’entreprise en 1990 avec Olivier Monin. Après être devenue n°1 en France auprès des professionnels, elle ouvre une usine en Floride tout en recentrant ses unités de production à Bourges. La marque qui fête ses 100 ans en 2012, est présente dans plus de 60 pays et sur les 5 continents à travers des filiales ou studios à Dubaï, Kuala Lumpur, Shanghai, Dallas et bien sûr Bourges. Aujourd’hui, la palette de saveurs qu’offrent les sirop Monin est pléthorique. On retrouve ses bouteilles dans de nombreux bars, cafés et restaurants dans le monde où ce sirop est devenu la composante indispensable d’un bon cocktail. A Bourges, vous en verrez de toutes les couleurs, alors laissez-vous tenter !

La Villa Monin, nouveau joyau berruyer

Prolongez votre expérience au cœur de Bourges, à la Villa Monin, le nouveau rendez-vous des gourmands et des gourmets.